De nos jours, les voitures sont considérées comme l’une des principales causes de la dégradation de l’environnement. Avec leur taux énorme d’émissions de gaz à effet de serre, elles produisent en effet un lourd impact sur la couche d’ozone et favorisent par conséquent le réchauffement climatique. Pour y faire face, de nombreux constructeurs automobiles se tournent alors aujourd’hui vers l’électrique. Une motorisation qui est considérée comme plus écologique et plus avantageuse pour l’environnement. D’un autre côté, on favorise également l’abandon des voitures personnelles au profit des transports en commun ou encore des véhicules non motorisés. Le développement qui suit vous en dira un peu plus sur ce sujet.
Un abandon progressif du « tout voiture »
Les préoccupations environnementales prennent de plus en plus de place dans nos politiques nationales et également dans nos vies quotidiennes. Et d’ailleurs, avec le sommet COP21 2015 de Paris, cela va encore se renforcer sur le plan international. Dans les grandes villes, l’on passe déjà en action avec l’abandon progressif du « tout voiture ». Si l’on en croit les statistiques, ceux qui ne disposent pas d’une voiture personnelle sont déjà assez nombreux aujourd’hui. En Ile-de-France par exemple, le nombre de personnes qui n’en possèdent pas est de 4/10 en moyenne. A Paris, ce chiffre est d’autant plus impressionnant dans la mesure où 6 Parisiens sur 10 sont piétons et n’utilisent pas de voitures personnelles. Pour les distances parcourues chaque année, elles sont également en décroissance depuis quelques années. En effet, la tendance est actuellement à l’abandon des voitures personnelles.
Rouler ensemble, c’est mieux que de consommer seul !
IPSOS a récemment effectué un sondage d’opinion pour le compte de la Collectivité Biéthanol et qui porte sur « Les Français et les carburants ». D’après les résultats de ce sondage, ce qui motive le plus les Français pour changer leur manière de se déplacer au quotidien est de faire des économies (72 %). Réduire la pollution vient en second lieu avec 35 % et le gain de temps avec 24 %. Ces chiffres nous disent que la plupart des Français prennent peu à peu consciences que l’usage des voitures personnelles n’est pas profitable aussi bien pour leur porte-monnaie que pour l’environnement. Ce qui offre une place plus importante aux transports en commun.